Meurtre, torture et orientation sexuelle
- Odelpa

- 4 août 2022
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Dans l’article 248, “le meurtre est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu’il est commis en raison de l’orientation sexuelle de la victime alors que sans ce facteur d’aggravation“, le fait de donner la mort à autrui serait passible de dix (10) à vingt ans de réclusion criminelle.
Selon l’article 262, “le fait de soumettre une personne à des tortures ou à des actes de barbarie est passible de quinze (15) ans à vingt (20) ans de réclusion criminelle”. Cette infraction, selon l’article 265, “est passible de vingt (20) ans à vingt-cinq (25) ans de réclusion criminelle lorsqu’elle est commise en raison de l’orientation sexuelle de la victime”.
Source : Le Nouvelliste



L'article met en lumière de manière très claire la distinction légale cruciale que nos lois opèrent, notamment via les articles 248 et 265, lorsqu'un crime est motivé par l'orientation sexuelle de la victime. Cette reconnaissance juridique des motivations haineuses est un pas essentiel vers la justice, mais elle souligne aussi la persistance de préjugés et de violences dans la société. C'est un rappel poignant de l'importance de l'éducation et de la sensibilisation. Dans un tel contexte, où l'orientation sexuelle peut malheureusement être une source de danger, il est d'autant plus vital d'offrir des ressources pour ceux qui cherchent à mieux comprendre leur propre identité. Pour ceux qui sont dans cette démarche de découverte, il existe des outils pour explorer son…